En signant cette Charte, Paris s’engage à mettre en œuvre,une démarche globale et concrète pour affirmer l’importance pour la démocratie de garantir l’égalité des femmes et des hommes.
bonnes fêtes à toutes et à tous !
Etaient présentes Lutin Lune, Fraise des Bois, Le Village, Métramômes, le Repaire des Lutins ...
Vendredi prochain, dernière séance ......
élections à la crèche des Orteaux
"Etes-vous d'accord avec la dépénalisation de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) si elle est réalisée, à la demande de la femme, dans les dix premières semaines de grossesse, et dans un établissement de santé légalement autorisé ?".
59,3% des personnes qui se sont déplacées ont voté OUI.
Le 8 mars dernier, le Parlement a approuvé la nouvelle loi. Le 11 avril, le président de la République a promulgué la loi libéralisant l’avortement.
La loi est rentrée en application depuis juillet dernier.
Malheureusement, la majorité des hôpitaux et des centres de santé publics ne sont pas préparés à appliquer cette loi et il y a fort à parier que le secteur privé « s’empare » du marché de l’IVG, ce qui contraindra les femmes les plus faibles économiquement à continuer à recourir à l’avortement clandestin.
Rappelons que le Portugal est le 2ème pays d’Europe avec le plus grand indice de grossesse dans l’adolescence. Les féministes portugaises demandent qu’une campagne d’information et d’éducation sur les moyens de prévenir le recours à l’IVG soit mise en place au plus vite. Elles demandent également que les moyens soient mis en place pour une application normale de la nouvelle loi.
Cette victoire des féministes portugaises soutenues par les forces progressistes renforce le camp « prochoix » en Europe. Mais n’oublions pas : il reste encore à gagner l’Irlande, Chypre, Malte et la Pologne !
AFP - 10.09.07 - Le ministre allemand de l'Environnement, le social-démocrate Sigmar Gabriel, a récusé le point de vue du président français Nicolas Sarkozy qui a prôné lundi un retour de l'Allemagne à l'option nucléaire, plus à même selon lui que les éoliennes d'assurer l'avenir. Cette position sert essentiellement les intérêts français, a estimé le ministre dans une interview au quotidien Tagesspiegel à paraître mardi.
"Mais ceux-ci ne sauraient être le critère de la politique européenne en matière d'énergie et de protection du climat", a-t-il dit. "L'énergie nucléaire est tout sauf une technologie du futur" et, à l'échelle mondiale, les centrales nucléaires qui ferment sont plus nombreuses que celles qui ouvrent, a-t-il ajouté. Seuls 30 réacteurs sont en construction sur la planète, et neuf depuis plus de 20 ans, a souligné Sigmar Gabriel. M. Sarkozy, qui a retrouvé lundi la chancelière allemande Angela Merkel à Meseberg, près de Berlin, pour une rencontre informelle, a lancé un appel appuyé à l'Allemagne à revenir à une politique énergétique incluant, à côté des énergies renouvelables, l'option nucléaire. Le gouvernement allemand CDU-SPD a pourtant renoncé à l'atome civil.
C'était une condition des sociaux-démocrates pour former une coalition avec les chrétiens-démocrates d'Angela Merkel. Celle-ci, personnellement favorable à l'option nucléaire, ne peut se permettre de rompre l'accord de gouvernement passé en 2005 sans déterrer la hache de guerre à deux ans des élections. M. Sarkozy a jugé "difficile d'avoir un choix d'un côté en France et un choix différent de l'autre côté en Allemagne".
Il a plaidé pour "une politique de l'énergie européenne" et estimé qu'"on ne peut rester en Europe face à une situation où, dans un siècle il n'y aura plus de gaz, où dans 30 ou 40 ans, il n'y aura plus de pétrole. Il n'y a personne qui peut imaginer que les éoliennes serviront à faire tourner toute l'Europe". Greenpeace a dit "s'alarmer" de ces propos. "Au lieu de donner des leçons à l'Allemagne, la France ferait mieux de s'inspirer de son exemple", a jugé l'association écologiste.
Rien n’a été plus insupportable que ces deux mots accolés, qui ont souvent caractérisé le « soutien » de certains au professeur Robert Redeker.
La manière dont chacun de nous a réagi, en public et en privé, à cette incroyable affaire de menace de mort envers un homme qui avait simplement écrit un article dans un journal, est grandement révélatrice des valeurs qui nous structurent.
Ne parlons pas de ceux qui l’ont condamné, voyant en lui un « raciste » ou on ne sait quel qualificatif infamant et définitif. Non, ceux-là, maintenant, nous les connaissons bien : ils ont joint leur voix pour condamner la publication des caricatures de Mahomet au Danemark, puis leur republication dans France-Soir et Charlie Hebdo, ils font des procès en islamophobie à tout démocrate osant remettre en question telle ou telle pratique mortifère attribuée à tord ou à raison à l’Islam. Ce sont les complices des criminels, ils participent à l’hallali.(...)
Lien